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Nom du blog :
mimi40
Description du blog :
mes créations de l'humour et des superbes images et grands coups de gueule
Catégorie :
Blog Images pour blog
Date de création :
21.10.2006
Dernière mise à jour :
19.12.2007

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lecture 17857

Publié le 24/04/2007 à 12:00 par mimi40
lecture                 17857
QUAND AU TEMPLE ...

Quand au temple nous serons

Agenouillés nous ferons

Les dévots selon la guise

De ceux qui pour louer Dieu

Humbles se courbent au lieu

Le plus secret de l'église



Mais quand au lit nous serons

Entrelacés nous ferons

Les lascifs selon les guises

Des amants qui librement

Pratiquent folâtrement

Dans les draps cent mignardises



Pourquoi donc quand je veux

Ou mordre tes beaux cheveux

Ou baiser ta bouche aimée

Ou toucher à ton beau sein

Contrefais-tu la nonnain

Dedans un cloître enfermée



Pour qui gardes-tu tes yeux

Et ton sein délicieux

Ton front ta lèvre jumelle

En veux-tu baiser Pluton

Là-bas après que Charon

T'aura mise en sa nacelle



Après ton dernier trépas

Grêle tu n'auras là-bas

Qu'une bouchette blêmie

Et quand morte je te verrai

Aux ombres je n'avouerai

Que jadis tu fus ma mie



Ta tête n'aura plus de peau

Ni ton visage si beau

N'aura veines ni artères

Tu n'auras plus que les dents

Telles qu'on les voit dedans

Les têtes des cimetières



Doncque tandis que tu vis

Change maîtresse d'avis

Et ne m'épargne ta bouche

Incontinent tu mourras

Lors tu te repentiras

De m'avoir été farouche



Ah je meurs ah baise-moi

Ah maîtresse approche-toi

Tu fuis comme un faon qui tremble

Au moins souffre que ma main

S'ébatte un peu dans ton sein

Ou plus bas si bon te semble


quand au temple nous serons ( beart)

l'invitation au voyage 17735

Publié le 22/04/2007 à 12:01 par mimi40
l'invitation au voyage                      17735
de charles baudelaire



L’Invitation au voyage

Mon enfant, ma sœur,
Songe à la douceur
D’aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l’ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
A l’âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l’humeur est vagabonde ;
C’est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu’ils viennent du bout du monde.
— Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D’hyacinthe et d’or ;
Le monde s’endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n’est qu’ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

l'ennemi 17734

Publié le 22/04/2007 à 12:01 par mimi40
l'ennemi                       17734
de charles baudelaire



L’ennemi

Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu’il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

Voilà que j’ai touché l’automne des idées,
Et qu’il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur?

— O douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie,
Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le coeur
Du sang que nous perdons croît et se fortifie

l'albatros 17733

Publié le 22/04/2007 à 12:01 par mimi40
l'albatros                       17733
de charles baudelaire



L’Albatros


Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

À peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher

poème 17415

Publié le 18/04/2007 à 12:01 par mimi40
poème               17415
Un jour ma mère m'a dit :
"ton corps est à toi ,
c'est toi qui vois,
c'est toi qui choisi".

Un jour une femme m'a dit :
"les hommes sont nos amis,
ce sont eux qui nous rendent belles,
qui nous rendent éternelles".

Un jour ma soeur m'a dit :
"attention à toi ma soeur, ma vie,
les hommes sont des loups,
ils se croient forts et volent tout".

Un jour un homme m'a dit :
"je t'aime, tu es la plus jolie,
j'aimerais t'embrasser,
j'aimerais pouvoir t'aimer".

Aujourd'hui je vous dis :
"l'Homme n'est rien du tout,
il ne choisi rien et choisi tout,
et pense tout savoir de la vie".

Aujourd'hui je vous crie :
"à chacun sa vie,
il faut certes se méfier,
mais, pas croire que l'homme est toujours mauvais".





http://unelarmeperdue.canalblog.com/yeux_de_biche.jpg

petit sonnet 17414

Publié le 18/04/2007 à 12:01 par mimi40
petit sonnet              17414
Sonnet des Yeux


Lorsque je vois tes yeux tout me parait si clair
Ce noir avec lequel ils écrivent la vie
Cette encre sympathique enveloppant tes cris
Ce brasier qui s'éteint encerclé de paupières

Le fusain déposé consume ma chandelle
Où le temps a vingt ans où l'automne s'effeuille
Il consomme l'Amour et l'Adieu d'un clin d'œil
En filant une étoile en éclairant le ciel

Que cachent-ils alors quand ils sont antre ou vert
Eux qui croisent ma montre éternelle croisière
Est-ce un fond que tu teins au cadran de ton corps
Ou mon cœur dans sa loupe à te refaire chair

Avant que la nuit sombre enlumine ses pores
Lorsque je vois tes yeux tout me parait si clair



http://ecrits-vains.com/chansons/

image 16779

Publié le 13/04/2007 à 12:00 par mimi40
image                        16779
de pin -up diverses de divers dessinateurs





http://www.thepinupfiles.com/posada.htlm

poème 15923

Publié le 04/04/2007 à 12:00 par mimi40
poème                15923
amour
Sommes-nous préparé à nous battre contre nos rêves ?
Sommes-nous fait pour nous détourner du bonheur ?
D'autres personnes mais pas moi.
Je marche et je prends ce que la vie me donne
Là une rencontre qui s'avère différente des autres
C'est une personne à laquelle je m'attache
On découvre qu'on aime avec une terrible certitude
On aime et on construit autour de soi un monde où tout semblent à sa place.
Mais un jour, la réalité s'impose à notre coeur
Nos peines nous apprennent
Que l'on a fait de cet amour notre vie
Il est le sang qui coule dans nos veines
Et qui nous empoisonne
Sait-on seulement qui on aime ?
On aime et on souffre.
On aime et on perd
On aime et on se perd
Que reste-t-il alors ?
Des rêves, des illusions qu'il faut recouvrir
Et enfouir au plus profond de son propre corps.
Quand sortiront-ils à nouveau ?
Nul ne sait.
Il faut attendre et se souvenir encore
Qu'un amour est passé
Et qu'il nous a blessé...
Mais qu'il y a toujours
Moins de sang qu'on ne pensait.





http://codoliprane.skyblog.com/

petits poemes 15381

Publié le 30/03/2007 à 12:01 par mimi40
petits poemes                     15381
Le vent du passé
Souffle sur les braises de l'amitié,
Que le temps a éparpillées
Depuis que l'on se connaît.

Les flammes de la passion
Jaillissent de ton coeur,
Impatient de savoir à quelles sensations
Doit battre son dur labeur.

Le feu de tes yeux
A embrassé un jour les miens
Nous regardant heureux
Nous tenir par la main.

Oui nous sommes amis
C'est à toi que j'ai tout dit,
Mes soucis, mes malheurs
Mes douleurs, mes rancoeurs.

Le feu de l'amitié
Brûle en nous à jamais
Et je ne pourrai oublier
Cette chaleur que nous avons partagée amitié.




envoyé par cloclo que je remercie


http://cloclo193.skyblog.com/

petits poemes 15380

Publié le 30/03/2007 à 12:01 par mimi40
petits poemes                     15380
Une sensation,
Un sourire,
C'est le début d'une passion.

Une illusion,
Comme vivre avec toi,
pour une belle excursion.

Une lueur dans ton regard,
Un espoir est né,
Qu'il devienne vérité!

Prés de toi,
C'est la vie qui me sourit,
Je t'aime...


http://ptitdragon06.skyblog.com/